Carte ne montrant que les zones sismiques, et pas les centrales construites en zones inondables, comme la centrale de Gravelines (la plus grande d’Europe), construite sur un polder, ou celle du Blayais qui avait été submergé lors de la tempête de 1999Les retombées de FukushimaLe séisme et le tsunami qui ont dévasté la côte Nord-Est du Japon ce vendredi 11 mars 2011 à 14h46 (heure locale) constituent l’une des plus graves catastrophes naturelles de l’Histoire. Face à la force inouïe de de la tectonique des plaques et la puissance de la mer, l’homme est désemparé et se rappelle ses conditions précaires d’existence. On ne peut qu’aider les Japonais, leur présenter nos plus sincères condoléances, puis en tirer quelques enseignements en rappelant qu’il faut limiter l’urbanisation des côtes, améliorer encore la prévention et la sécurité des habitations. La résignation était la même en France à la suite de la tempête de 1999 ou de la tempête Xynthia de 2010.
Mais face à la catastrophe nucléaire en cours à Fukushima (et ailleurs), c’est la colère qui prédomine. Une colère face à la bêtise des
lobbys du nucléaire, qui ont fait croire à tous que construire une centrale nucléaire sur la côte, à deux pas d’une zone sismique majeure, ne représentait aucun risque. Une colère contre les pouvoirs publics qui sacrifient le principe de précaution sur l’autel du profit. Une colère aussi de voir les attaques de quelques lobbyistes affairés à étouffer la gravité de la situation en accusant les anti-nucléaires de récupérer un drame pour quelques voix de plus aux cantonales.
Les écologistes n’ont pas attendu vendredi pour être antinucléaires ; cela fait plus de 30 ans qu’ils se battent pour un vrai débat démocratique sur cette question, pour une sortie rapide du nucléaire, cette énergie qui n’est ni propre (elle émet plus de CO2 au kW/h qu’une centrale au gaz), ni sûre (ici le risque est fatal), ni l’assurance d’une indépendance énergétique (les réserves d’uranium s’épuisent, son exploitation entraine une spoliation dans les pays possesseurs, avec des tensions et les conséquences que l’on connaît pour les salariés d’Areva au Niger).
La machine à désinformer s’est déjà mise en route : rien n’est grave, tout va bien, nos centrales sont géniales, on est les meilleurs. Et puis de toute manière, la ligne Maginot nous protège des troupes allemandes, des nuages radioactifs et des énergies renouvelables. Pour ce qui est de la sûreté de nos centrales française, voici une petite carte qui pourrait en faire réfléchir quelques-uns.
http://oursvert.com/2011/03/14/fukushima/Carte de l’impact de la radioactivité sur l’océan après Fukushima….http://lesmoutonsenrages.fr/2012/03/18/carte-de-l%E2%80%99impact-de-la-radioactivite-sur-l%E2%80%99ocean-apres-fukushima%E2%80%A6/La radioactivité du nuage de Fukushima a peut-être été sous-évaluéeSelon la Criirad (Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité), le niveau de radioactivité en France révélé par l'Institut français de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) a sans doute été «sous-évalué», lors du passage-sans doute jeudi- de la masse d'air contaminée sur la France.
L'IRSN a annoncé samedi que les premières traces du panache provenant de la centrale nucléaire japonaise de Fukushima ont été relevées en France mais que le niveau de radioactivité mesuré était sans danger pour l'environnement et la santé. Mais, d'après la Criirad, «l'air a été échantillonné à partir d'un filtre à aérosols, qui ne permet pas de piéger l'iode présent dans l'air sous forme gazeuse». Or, cet iode gazeux «pourrait constituer une part importante, probablement majoritaire, de l'iode radioactif présent dans les masses d'air contaminé», a poursuivi le laboratoire.
Si «l'incidence de cette question sur l'appréciation des risques est très limitée» en Europe, «au Japon, les conséquences d'une sous-évaluation de l'activité de l'iode pourraient être graves», estime le laboratoire indépendant basé à Lyon.
D'après l'IRSN, «des traces d'iode 131 (0,012 mBq/m3 en moyenne sur la période de prélèvement) ont été mesurées dans l'air prélevé entre le 21 au 24 mars par la station de l'IRSN installée au sommet du Puy-de-Dôme».
26 mars 2011
www.leparisien.fr/tsunami-pacifique/la-radioactivite-du-nuage-de-fukushima-a-peut-etre-ete-sous-evaluee-26-03-2011-1378933.phpIndependentWho :
Pour l'indépendance de l'OMSL’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ne remplit pas sa mission de protection des populations victimes des contaminations radioactives.
"Depuis le 26 avril 2007, les vigies d’Hippocrate se relaient devant le siège de l’OMS à Genève, soit depuis 257 semaines sans interruption. La vigie consiste en une présence silencieuse qui a pour objectif de rappeler à l’Organisation Mondiale de la Santé ses devoirs tels qu’ils sont notamment inscrits dans sa constitution."
http://independentwho.org/fr/Un Général de l’armée américaine avertit de la catastrophe imminente de Fukushima…Dans un communiqué de presse, le major et général Albert N. Stubblebine estime que la situation à Fukushima est une menace immédiate pour tout l’hémisphère Nord
http://realinfos.wordpress.com/2012/05/15/un-general-de-larmee-americaine-avertit-de-la-catastrophe-imminente-de-fukushima/FUKUSHiMA (Japan) (AND THE REST OF THE WORLD)
....To whomever it may concern....
https://www.commondreams.org/view/2012/02/25-4Fukushima – Worse Than Chernobyl"In 2011 Japan's Ministry of Science and Technology published the soil contamination data of 60 km area from Fukushima plants.
The result shows the worst contaminated area in Fukushima is 33 times worse than Chernobyl. It proves Fukushima is something nobody has ever gone through. Fukushima is “the next level” of Chernobyl. In Chernobyl, area contaminated worse than 1,480,000 bq/m2 was defined as the worst red zone, “immediate mandatory evacuating area.”
HUSH HUSH NOW, and back to our regular most relevant occupations.
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The radiation has absolutely reached the shores of North America.
Water samples from across the continent have tested positive for unsafe levels of radioactivity.
The levels exceeded federal drinking water thresholds, known as maximum contaminant levels, or MCL, by as much as 181 times.
”This means that the complete ecosystem of the Pacific Ocean is now poisoned with radiation
And we aren’t being warned.
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www.setyoufreenews.com/2012/04/03/the-radiation-warnings-you-wont-get-from-the-mainstream-propaganda-machine/••• listen up •••
http://portland.indymedia.org/en/2012/04/414835.shtml