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| Trouvailles pour cinéphiles | |
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Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Trouvailles pour cinéphiles Dim 18 Déc - 8:34 | |
| La seconde naissance du “Voyage dans la lune” de MélièsFan de Méliès, Serge Bromberg a restauré “Le Voyage dans la Lune” de 1902. C'est grâce à Serge Bromberg et à sa société Lobster Films que Le Voyage dans la Lune, de George Méliès, connaît une seconde naissance, dans une version en couleurs restaurée. À l'occasion du 150e anniversaire de la naissance de Méliès (le 8 décembre), triple programmation sur Ciné+ Classic, Paris Première et France 3. Serge Bromberg lui dédie son magazine, Retour de flamme. http://television.telerama.fr/television/la-seconde-naissance-du-voyage-dans-la-lune-de-melies,75605.phpPour son 150e anniversaire, Méliès reprend des couleursDeux chasseurs de trésors cinématographiques racontent l'incroyable restauration de la version en couleurs du 'Voyage dans la Lune' L’astre lunaire sera haut dans le ciel quand France 3 diffusera le célèbre film de Georges Méliès, Le Voyage dans la Lune. Né il y a 150 ans exactement, ce pionnier du cinéma fait l’objet d’une attention particulière en ce jour anniversaire. Après une journée d’études dans l’après-midi à la Cinémathèque française, une soirée spéciale y est organisée à 20 heures au cours de laquelle sont projetés des films rares de Méliès. C’est en 1902 que Georges Méliès réalise Le Voyage dans la Lune. Sept ans après la naissance du cinématographe, ce prestidigitateur et homme de théâtre est aussi connu pour être un inventeur de génie : il a conçu le premier studio de cinéma au monde, à Montreuil-sous-Bois en banlieue parisienne où il a déjà réalisé les premiers trucages du 7e art (apparition, disparition, substitution, multiplication…). MIRACLE LUNAIRE Après avoir produit quelques courts métrages qui l’ont rendu célèbre, comme L’Affaire Dreyfus et Cendrillon en 1899, ou L’Homme à la tête de caoutchouc en 1901, il s’inspire des livres de Jules Verne (De la Terre à la Lune) et H. G. Wells (Les Premiers hommes dans la Lune) pour concevoir l’un de ses plus longs films (13 mn 56). Un extrait : www.dailymotion.com/video/xmuoey_le-voyage-dans-la-lune-extrait_shortfilms 80 ans plus tard, un miracle lunaire se produit quand est retrouvée, à Barcelone, une copie du film coloriée au pinceau, malheureusement dans un état irrécupérable : la bobine est devenue aussi dure et homogène qu’un palet de bois ! Traitements chimiques, photographie des images une par une, retouche numérique : en dix années et au prix d’une collaboration internationale sans précédent, entre la France et les États-Unis, l’œuvre la plus connue de Méliès est restaurée. C’est ce que raconte le passionnant documentaire de Serge Bromberg et Éric Lange, acteurs de cette renaissance. Au sein de la société de production Lobster Films, ces deux chasseurs de films perdus ont réalisé un travail de fourmi pour redonner ses couleurs à cette copie rarissime. https://www.sinemalar.com/film/226913/le-voyage-extraordinaire […] www.la-croix.com/Culture-Loisirs/Medias/Le-choix-TV/Pour-son-150e-anniversaire-Melies-reprend-des-couleurs-_NG_-2011-12-08-745193 Georges Méliès est né à Paris le 8 décembre 1861 dans une famille bourgeoise À 26 ans, en 1888, grâce à l'héritage de son père il achète le Théâtre Robert Houdin et monte des spectacles de grandes illusions. Tout se précipite, en décembre 1895, quand Antoine Lumière (le père d'Auguste et Louis) l’invite à une projection de cinématographe. Une véritable révélation ! Jusqu’en 1912, il réalise plus de 520 films à la fois poétiques, fantastiques, mystérieux, naïfs et pleins d’humour Son incroyable succès suscite les convoitises et il est pillé, surtout en Amérique où il était impossible de poursuivre les contrefacteurs. Afin d’enrayer ce phénomène, il confie, en 1914, à son frère Gaston, la Go Mélies Star Film Manufacturing à New York. Au même moment, son épouse meurt et il se retrouve à s’occuper seul de ses deux enfants : Georgette et André. En 1925, ruiné, il est contraint d'habiter chez son fils et sa belle-fille puis d'accepter pour survivre le métier de vendeur de jouets à la gare Montparnasse dans la boutique de sa seconde épouse Fanny Manieux, alias Jehanne d'Alcy, locataire du magasin. À la mort de sa fille, Georgette, en août 1930, il recueille sa petite-fille Madeleine, âgée de 5 ans, dont le père Amand Fontaine était chanteur d'opérettes et très souvent sur les routes de France et d'ailleurs. Coincé 14 heures par jour, 7 jours sur 7 dans sa petite boutique, Méliès s'ennuie et souffre de cette routine peu sujette à la fantaisie. Il continue pourtant à dessiner sans arrêt sur le moindre petit morceau de papier. Son seul luxe sont ses vacances annuelles en Bretagne durant l'été. Un jour, comme tous les autres, en 1926, un cafetier passant par là le salue d’un retentissant « Bonjour, Monsieur Méliès ». Léon Druhot, alors directeur du Ciné-Journal, se trouvant sur les lieux n’en croit pas ses oreilles, il le croit mort depuis belle lurette et l’interpelle. Avec lui, Méliès sort de l’oubli. Le cinéaste va alors se battre avec acharnement pour la reconnaissance de son rôle d'inventeur du spectacle cinématographique, de ses découvertes techniques et du rôle primordial de la France dans les 10 premières années du cinéma. Méliès n'a pas seulement inventé des trucages mais jeté les bases de ce qui allait être le cinéma moderne. […] www.melies.eu/ | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Trouvailles pour cinéphiles Lun 26 Nov - 16:16 | |
| L'acteur Sessue Hayakawa et Anna May WongL'industrie cinématographique au Japon en 1922Texte tiré du récit de ses pérégrinations au Japon, par Robert Florey (paru le 1er décembre 1922 dans Cinémagazine) "D'un commun accord, nous acceptâmes Ivano et moi, et nous trouvâmes un peu plus tard au Shochiku Studio dont l'entrée principale me rappela immédiatement celle des Metro Studios à Hollywood. Coquets jardinets et pelouses bien entretenues (les Japonais sont des jardiniers experts) précèdent la grande entrée. Tous les bureaux sont meublés à l'américaine. Une téléphoniste assise devant un bureau distributeur, reçoit les visiteurs, et annonce leur présence, par téléphone, au directeur du département désiré. Une large avenue empierrée traverse perpendiculairement la cour centrale du studio. Quatre grands studios de verre composent le Shochiku Studio." http://tomblands-fr.blogspot.fr/2009/12/lindustrie-cinematographique-au-japon_30.htmlRobert Florey, à droite, avec Gene Raymond et Bette Davis en 1933.Robert Florey est un réalisateur, scénariste, acteur et producteur de cinéma, né le 14 septembre 1900 à Paris, mort le 16 mai 1979 à Santa Monica. "Robert Florey restera dans les mémoires comme le témoin privilégié de l'élaboration des premiers studios hollywoodiens, comme l'historien qui a su restituer toute l'ambiance de La Mecque du cinéma, et surtout comme un artisan ayant occupé diverses fonctions : il a été correspondant de presse, scénariste, découvreur de talents et, surtout, maître du récit fantastique, justement apprécié grâce à deux « mythes » cinéphiliques : Double Assassinat dans la rue Morgue (1932) et La Bête aux cinq doigts (1945). Robert Florey s'était intéressé très jeune au cinématographe et avait vu travailler Georges Méliès. Ce nouveau moyen d'expression lui apparut très vite comme la synthèse de diverses formes d'art. Il est d'abord l'assistant de Louis Feuillade. En 1921, écrivant des articles dans la revue Cinémagazine – ce qui lui semblait déjà la meilleure façon d'élaborer une théorie sur un « art » en plein mouvement –, il se voit proposer une place de correspondant de la revue aux États-Unis. Cette même année, il s'embarque pour Hollywood où naissent les premiers studios..." www.universalis.fr/encyclopedie/robert-florey/Robert Florey aura une carrière bien remplie de réalisateur de cinéma et finalement de télévision. On lui doit, par exemple, Noix de coco (The Cocoanuts, 1929) avec les Marx Brothers, Le Blanc et le Noir (1931) avec Fernandel et Raimu, La Taverne de la Nouvelle-Orléans (Adventures of Captain Fabian) avec Errol Flynn, Micheline Presle, Vincent Price et Agnes Moorehead, en 1951, un épisode de la série "Les Incorruptibles" avec Robert Stack et un dernier épisode de "Au-delà du réel" en 1963. http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Florey | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Trouvailles pour cinéphiles Sam 30 Mar - 4:04 | |
| « Le cinéma d’auteur est un mythe et un fantasme réactionnaire »au cinéma, on sait très bien que l'on ne peut pas faire de films sans équipe. Une série de compromis est nécessaire pour financer un film car faire un film coûte très cher. Le cinéma d'auteur est donc est un mythe et un fantasme. Une approche genrée remet en question non seulement la domination masculine mais désigne comme réactionnaire cette conception de la création qui reste au cœur de la cinéphilie. [...] Ce film [ Et Dieu créa la femme, de Roger Vadim] a eu l'effet d'une bombe en créant une bombe sexuelle en la personne de Brigitte Bardot. La nouveauté de BB dans le film est d'être à la fois sujet de son propre désir et un objet de désir pour les protagonistes masculins qui lui tournent autour. Au moment où ce film a été réalisé, Vadim a pris en compte le mouvement d'émancipation des femmes qui était à l’œuvre dans la société française, avec la parution, quinze ans plus tôt, du Deuxième Sexe de Simone de Beauvoir, en 1949. [...] Agnès Varda a réussi à se faire une place toute seule, puisqu'elle a fait son premier film, La Pointe Courte, en dehors des circuits commerciaux, en 1955, avant la Nouvelle Vague. Elle a ensuite été soutenue par le groupe de la rive Gauche : Chris Marker, Jacques Demy et Alain Resnais, qui étaient beaucoup plus progressistes que les cinéastes des Cahiers du Cinéma. Ils avaient un respect pour les femmes et un désir de prendre en compte leur émancipation que n'avaient pas leurs camarades de la rive droite. [...] http://sabrinabouarour.blog.lemonde.fr/2013/03/26/le-cinema-dauteur-est-un-mythe-et-un-fantasme-reactionnaires http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=185.htmlConférence de Geneviève Sellier et Noël Burch (13 nov 2010) Donnée dans le cadre du cycle "Quarante ans de recherche sur les femmes, le sexe et le genre", à l'auditorium de la Grande Galerie de l'Évolution au Muséum national d'Histoire naturelle (90 mn, filmée par le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir). https://www.dailymotion.com/video/xgik2u_conference-de-genevieve-sellier-et-noel-burch-13-nov-2010_schoolProfesseure d'études cinématographiques à l'université Montaigne de Bordeaux III, Geneviève Sellier fait partie des rares historiens du cinéma à travailler sur les représentations sexuées en France, ces fameuses "gender studies" (études de genre) qui réfléchissent aux rapports sociaux entre hommes et femmes. Elle a notamment publié La drôle de guerre des sexes du cinéma français avec Noël Burch (Nathan, 1996), La Nouvelle Vague, un cinéma au masculin singulier (CNRS éditions, 2005) et Le cinéma au prisme des rapports de sexe (Vrin, 2009). http://fr.wikipedia.org/wiki/Genevi%C3%A8ve_Sellier http://www.u-bordeaux-montaigne.fr/fr/actualites/recherche/annee-2014-2015/decembre/cinepop-50-dernier-colloque-avant-cloture.htmlLe cinéma français et européen face à HollywoodLE GATT CONTRE L’EUROPE Le précédent des accords Blum-Byrnes Le dimanche 4 janvier 1948, plus de dix mille personnes défilaient sur les grands boulevards, à Paris, avec, à leur tête, les cinéastes Jacques Becker, Jean Grémillon, Louis Daquin, Yves Allégret et les acteurs Jean Marais, Simone Signoret, Madeleine Sologne, Raymond Bussières, pour défendre le cinéma français contre les accords Blum-Byrnes. Quarante-cinq ans avant la bataille pour l’"exclusion culturelle", le monde artistique se mobilisait déjà pour les mêmes raisons : le droit à l’existence face au rouleau compresseur américain... Dans les années 30, les écrans français étaient régis par des accords de contingentement avec l’étranger, qui n’autorisaient que 188 films américains doublés par an (plus une cinquantaine de films en version originale). De 1940 à 1944, l’occupation allemande interrompit les importations américaines et les films anglo-saxons furent interdits dans les zones sous contrôle allemand direct, c’est-à-dire sur tout le territoire, à partir de novembre 1942, pour le plus grand profit du cinéma français qui connut paradoxalement un âge d’or... Mais, à la Libération, son appareil de production et d’exploitation était largement obsolète et très endommagé par la guerre. Outre-Atlantique, au contraire, le cinéma hollywoodien était une industrie prospère qui s’apprêtait à déverser sur le Vieux Continent cinq années de production déjà rentabilisée sur les écrans nationaux... Or, la France, exsangue, cherchait désespérément des aides étrangères, et les États-Unis avaient mis au point ce qui deviendra le plan Marshall, proposant aux pays intéressés d’annuler leur dette de guerre et de leur ouvrir de nouveaux crédits à des taux avantageux, à condition que ces pays renoncent à toute barrière douanière pour les produits américains [...] http://www.monde-diplomatique.fr/1993/11/SELLIER/45748http://cinepassionrenoir.over-blog.org/article-le-cinema-francais-et-europeen-face-a-hollywood-59492059.html | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Trouvailles pour cinéphiles Jeu 8 Aoû - 3:47 | |
| Virginia Nicholson, Joseph Cotten et Ruth Ford dans Too Much Johnson (1938)Découverte d'un film muet inédit d'Orson WellesC'est une découverte majeure. Un film muet inédit d'Orson Welles, dont on avait perdu la trace, a été retrouvé en Italie. Intitulé Too Much Johnson, ce métrage réalisé en 1938 est l'adaptation d'une pièce de théâtre. Il a été retrouvé dans un entrepôt par des employés de Cinemazero, un centre culturel de Pordenone, au nord-est de l'Italie, puis transmis à la cinémathèque du Frioule avant d'être remis au musée George Eastman House, au nord de l’État de New York, pour y être restauré. Les spécialistes le croyaient disparu dans un incendie Orson Welles, mort en 1985, n'a jamais achevé l’œuvre et les bobines sont restées inexploitées, explique le musée du cinéma et de la photo dans un communiqué. Jusqu'à sa découverte, le monde du cinéma pensait que Too Much Johnson avait été détruit dans l'incendie de la maison du réalisateur de Citizen Kane, près de Madrid, en 1970. Le film doit être projeté pour la première fois le 9 octobre dans le cadre de la "Journée du cinéma muet" à Pordenone. http://www.francetvinfo.fr/culture/cinema/decouverte-d-un-film-muet-inedit-d-orson-welles_386289.html Long-lost early Orson Welles film 'Too Much Johnson' recovered http://www.latimes.com/entertainment/movies/moviesnow/la-et-mn-long-lost-orson-welles-film-discovered-20130807,0,501350.story Early film by Orson Welles is rediscoveredhttp://www.nytimes.com/2013/08/11/movies/early-film-by-orson-welles-is-rediscovered.html?hp&_r=0 https://fr.wikipedia.org/wiki/Too_Much_Johnson | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Trouvailles pour cinéphiles Lun 18 Nov - 20:57 | |
| Attin : la rue de la Culbute rebaptisée «rue des Tontons flingueurs» À l’occasion du cinquantenaire de la sortie du film 'Les Tontons flingueurs', Jacques Vauchère a souhaité rebaptiser sa rue du même nom. « J’étais à Nantes récemment, où l’association 'Bonne garde' et le collectif 'Lulu la Nantaise' ont fait la même chose avec une rue. Ils avaient reçu le soutien du ministère de la culture pour fêter comme il se doit cet événement », raconte-t-il. « Culbute » signifie « tuer » en argot Jacques Vauchère a trouvé l’idée si bonne qu’il a décidé de la reproduire dans son village. La rue de la Culbute était tout à fait désignée, culbuter pouvant signifier « tuer » en argot. Une vingtaine de personnes, dont les habitants de la rue et le maire Philippe Fourcroy, ont écouté avec attention le discours plein d’humour de l’organisateur, qui a lu quelques citations de ce film inoubliable, notamment la fameuse réplique de Lino Ventura : « Patricia, mon petit… Je ne voudrais pas te paraître vieux jeu, ni encore grossier… L’homme de la Pampa, parfois rude, reste toujours courtois, mais la vérité m’oblige à te le dire : ton Antoine commence à me les briser menu ! ». Un coup de muscadet du cinquantenaire a clôturé ce baptême [...] http://www.lavoixdunord.fr/region/attin-la-rue-de-la-culbute-rebaptisee-rue-des-tontons-ia36b49099n1706107"Non mais t'as déjà vu ça ? En pleine paix ! Il chante et puis crac, un bourre-pif ! Il est complètement fou ce mec. Mais moi, les dingues, je les soigne. Je vais lui faire une ordonnance, et une sévère… Je vais lui montrer qui c'est Raoul. Aux quatre coins de Paris qu'on va le retrouver, éparpillé par petits bouts, façon Puzzle. Moi, quand on m'en fait trop, je correctionne plus : je dynamite, je disperse, je ventile !" Bernard Blier https://www.youtube.com/watch?v=T9hDBtX7t8s Citations « Les Tontons flingueurs » http://fr.wikiquote.org/wiki/Les_Tontons_flingueurs[Edit] 23/11/201350 ans après la sortie de ses "Tontons flingueurs", le 27 novembre 1963, le réalisateur Georges Lautner (né le 24 janvier 1926) est mort «d'une longue maladie», le vendredi 22 novembre. http://www.20minutes.fr/cinema/1253601-20131122-georges-lautner-realisateur-tontons-flingueurs-mort http://www.imdb.com/name/nm0491626/ | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Trouvailles pour cinéphiles Jeu 26 Déc - 21:24 | |
| Pour une nouvelle nouvelle cinéphilieArticle de Victor Lopez Rien de plus facile, de nos jours, que d’être catégorisé comme « cinéphile ». Il suffit de dire que l’on regarde des films en VO, ou qu’il nous arrive de diriger notre regard vers autre chose que le dernier blockbuster surmédiatisé pour que notre interlocuteur – celui qui ne se dira pas cinéphile – nous qualifie comme tel. Bien loin de sa définition initiale, codifiant à l’après guerre un mouvement, voire un mode de vie, la cinéphilie d’aujourd’hui est une catégorie floue et réductrice depuis qu’elle est entrée dans le domaine (du grand) public. Retour vers son âge d’or des années 50 et 60, pour essayer d’y voir plus clair sur ce que la cinéphilie peut nous apporter en 2009. http://www.iletaitunefoislecinema.com/chronique/2930/pour-une-nouvelle-nouvelle-cinephilie | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Trouvailles pour cinéphiles Dim 21 Jan - 15:47 | |
| Gene Tierney et Dana Andrews dans LAURA d'Otto Preminger (1944)Les femmes dans le film noirS’il y a beaucoup de femmes dans le film noir, la plupart n’existent qu’en tandem avec un partenaire masculin. De Double Indemnity (Assurance sur la mort) à Gun Crazy (Le Démon des armes), aussi dominatrice l’héroïne soit-elle, sans un homme d’une stature équivalente l’histoire ne tient pas. Pour qu’il y ait une femme fatale il faut un homme à détruire. Gilda (1946) et Nora dans Nora Prentiss (L’Amant sans visage, 1947) sont les personnages principaux. Dans la construction patriarcale du film noir, on pourrait assumer en simplifiant exagérément que leur talent peut charmer un homme au point d’induire en lui un comportement autodestructeur. Mais comme le démontrent ces deux films, Gilda et Nora sont, elles aussi, victimes d’une société qui met les femmes à la sensualité puissante sur un piédestal tout en les emprisonnant. [ Film Noir – Alain Silver & James Ursini, Paul Duncan (Ed.) – Ed. Taschen (2012)] Publié par 'Mon Cinéma à Moi', le 3 décembre 2017 https://moncinemaamoi.blog/2017/12/03/les-femmes-dans-le-film-noir/ | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Trouvailles pour cinéphiles Mer 4 Juil - 9:12 | |
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| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Trouvailles pour cinéphiles Mer 29 Aoû - 3:17 | |
| 120 ans d'inventions au cinémaCe documentaire de Stan Neumann (France, 2015) est présenté par Arte. 'En remontant là où le cinéma se fabrique, où l'intuition créatrice est inextricablement liée à la technique, ce documentaire permet de découvrir la face cachée des images qui nous fascinent. Dans les réserves de la Cinémathèque, des centaines de caméras et de machines plus originales les unes que les autres dorment sur les étagères. Les plus anciennes ont la beauté involontaire des objets d'autrefois, avec leurs mécanismes apparents, peu soucieux d'élégance ou d'ergonomie.' https://television.telerama.fr/tele/programmes-tv/120-ans-dinventions-au-cinema,109874705.phpStan Neumann nous apprend que le premier travelling italien s'appelait "mouvements Cabiria", que Wings a offert les premières prouesses techniques aériennes, que le long plan-séquence ouvrant La soif du mal (1958) est un acte de résistance de réalisateur (Orson Welles) contre la toute-puissance des monteurs, que la caméra technicolor de 1932 a une qualité inégalée (secret perdu), que la Louma est apparue en 1972, que le cinéma a été transformé avec les images par ordinateur (cf. Jurassic Park de 1995)... Aujourd'hui un univers virtuel intègre le spectateur, mais est-ce encore du cinéma, si le cinéma est un film-distance qui sépare spectacle et spectateurs ? https://www.arte.tv/fr/videos/063662-000-A/120-ans-d-inventions-au-cinema/https://www.youtube.com/watch?v=WUnUgy76cBM | |
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