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| Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) | |
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Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Lun 6 Déc - 1:43 | |
| 13 Novembre 2010 Logement social : le décret de tous les dangersEmmené par François Pérol, le lobby des grandes banques privées est entré en croisade pour que l'argent collecté grâce au Livret A soit de moins en moins centralisé par la Caisse des dépôts et n'aille plus financer le logement social. Le gouvernement s'apprête à prendre un décret. Enquête sur une privatisation qui ne dit pas son nom. www.mediapart.fr/journal/france/131110/logement-social-le-decret-de-tous-les-dangers2 décembre 2010 Si l'on regarde ce qui se passe avec le Livret A, qui est le placement favori des Français (il y a près de 50 millions de livrets), le gouvernement est en train d'organiser un véritable hold-up au profit des banques. Jusqu'à 2008, le système de collecte avait un but social : distribué par les Caisses d'épargne et la Poste, le Livret A permettait de collecter des fonds qui étaient centralisés à la Caisse des dépôts et servaient ensuite à financer l'économie. Or, depuis, le gouvernement a cédé au lobby des banques et a banalisé la distribution du Livret A. En contrepartie de quoi, il était prévu que les banques privées continueraient de centraliser 70% de la collecte à la Caisse des dépôts pour financer le logement social, et qu'avec le solde de la collecte, les banques privées pourraient faire des prêts aux entreprises. Or, la dernière enquête que je viens d'écrire sur le sujet (Logement social : le décret de tous les dangers) montre que cela été un marché de dupes : les banques privées ont bien mis la main sur le Livret A qu'elles convoitaient, mais le gouvernement envisage désormais de centraliser moins d'argent que prévu à la Caisse des dépôts - au risque d'étrangler le logement social -, et les banques n'utilisent pas le trop perçu pour financer l'économie, contrairement à leurs engagements. www.mediapart.fr/club/blog/laurent-mauduit/021210/vive-cantona-vive-la-revolution04/12/2010 Livret A : un partage en trompe-l’œilL’affaire aurait été tranchée. Selon Bercy, un décret devrait bientôt fixer à 70% le taux de «centralisation» de cette épargne. En clair, les banques pourraient garder dans leurs caisses 30% de la collecte des Livrets A et LDD. Le reste (70% donc) irait à la Caisse des dépôts. Cet argent sert à financer des projets d’intérêt général : construction de logements sociaux, d’universités, d’hôpitaux, création de lignes de tramway, réhabilitation des quartiers dans le cadre de la politique de la ville, etc. Outre l’utilité sociale de ces équipements publics et des logements HLM, leur construction génère une activité énorme pour des milliers de PME du bâtiment qui emploient 1,2 million de salariés dans une activité non délocalisable. Cet argent - sous la forme de prêts à très long terme (de trente a cinquante ans) et à des taux d’intérêt minorés - est précieux pour les acteurs publics. D’où la crispation du débat autour du taux de centralisation que Bercy prétend avoir tranché à hauteur de 70%. «Un taux […] nécessaire pour que la Caisse [des Dépôts et Consignations] puisse continuer à honorer (ses) engagements», expliquait le 9 novembre Augustin de Romanet, directeur général de la CDC, dans une interview à Libération. Si l’on s’en tient à la communication orchestrée depuis jeudi soir par Bercy, ce niveau de 70% serait atteint progressivement et au plus tard en 2018. « C’est faux. Ce chiffre ne figurera pas tel quel dans le décret en préparation. C’est juste une promesse, sans obligation de résultat», tacle un haut responsable du monde des HLM. Au cabinet de Christine Lagarde, à Bercy, on admet que le chiffre de 70% ne sera pas inscrit noir sur blanc dans le décret, qui «devrait être publié fin 2010 ou début 2011», selon le ministère. www.liberation.fr/societe/01012306141-livret-a-un-partage-en-trompe-l-il05 Décembre 2010 Livret A : le décret scélératDans un projet de décret soumis à concertation, la ministre des finances, Christine Lagarde, renie l'engagement solennel qu'elle avait pris de réserver 70% de la collecte du Livret A au logement social et aux grandes infrastructures et fait un immense cadeau aux banques privées. Décryptage de gros mensonges et petites manœuvres contre l'intérêt général. www.mediapart.fr/journal/france/041210/livret-le-decret-scelerat | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Mer 1 Juin - 15:37 | |
| Un fonds de 400 millions d'euros créé pour les PME du numériqueL'État et la Caisse des dépôts et consignations (CDC) ont officiellement lancé mercredi un fonds de 400 millions d'euros dédié aux petites et moyennes entreprises innovantes dans le secteur du numérique.Ce fonds commun de placement à risque (FCPR), géré par la CDC pourra prendre jusqu'à 30% du capital d'une entreprise à hauteur de 10 millions d'euros, a précisé le ministre de l'Industrie, Eric Besson, dans un communiqué. Baptisé "FSN PME", il sera financé par le Fonds national pour la société numérique, qui est doté d'un montant global de 4,25 milliards d'euros issus du grand emprunt, dont 1,4 milliard destiné à financer des projets d'investissements. Les secteurs d’intervention prioritaire du FSN sont : l’informatique en nuage (« cloud computing »), les industries de contenus (culturels scientifiques ou éducatifs), les technologies de base du numérique (notamment nanoélectronique et logiciel embarqué), l’e-Santé, l’e-Éducation, la sécurité et résilience des réseaux, les systèmes de transport intelligents et la ville numérique. www.globalsecuritymag.fr/Programme-Developpement-de-l,20110601,24080.html Présentation de l’action du Fonds national pour la Société Numérique (FSN)Mercredi 1er juin 2011 à la Caisse des Dépôts 72 avenue Pierre Mendès-France 75013 Paris Ce fonds, mis en place par l’État dans le cadre des Investissements d’avenir et géré par la Caisse des Dépôts, consacre 1,4 milliard d’euros aux investissements dans les entreprises innovantes du secteur du numérique. En France ce secteur bénéficie d’une forte croissance et 6 entreprises sur 10 de l’économie numérique ne recherchent pas de financements pour se développer. www.edubourse.com/finance/actualites.php?actu=72238Réaction de repos&detente 01/06/2011 - 13H43 Effet de manche politique ou argent jeté par les fenêtres ? Si vous faites le bilan des 10 dernières années d'activité de l'OSEO, CDC, etc. dans le financement du numérique, vous constaterez 1/ Qu'il est généralement impossible de comprendre l'objet des projets financés (c'est sans doute parce que c'est très novateur...) 2/ Qu'il est encore plus difficile de trouver ne serait que 10 entreprises qui aient réussi grâce à ces financements. J'en vois peut être une ou deux... dont les équipes sont maintenant en Chine ! www.usinenouvelle.com/article/un-fonds-de-400-millions-d-euros-pour-les-pme-innovantes-du-numerique.N152986SYNTEC NUMÉRIQUE« Des entreprises qui changent le monde » Les membres de Syntec numérique ont apposé leurs signatures sur la ‘Charte de bonnes pratiques’ : Atos Origin, DEVOTEAM, GROUPE OPEN, HP France, LOGICA, MICROSOFT, SAP, STERIA, UNISYS. http://les-communiques-de-presse.fr/2010/12/15/syntec-numerique-se-mobilise-pour-etablir-des-relations-responsables-entre-grands-donneurs-dordres-et-pme/Atos Origin, entreprise dirigée par Thierry Breton, est chargée du fonctionnement et de la maintenance des radars. Guéant vient de décider l’installation de 4.200 «radars pédagogiques» en 2011 et 2012. Thierry Breton, quand il était ministre des Finances, n’a pas communiqué à la Justice l’information qu’il détenait concernant la caisse noire de l’UIMM. Breton fait des dégâts actuellement en important chez Atos Origin les méthodes de management qu’il appliquait à France Telecom. https://sarko-verdose.bbactif.com/t23p75-la-corruption-gangrene-de-la-democratie#4904Bientôt 60.000 caméras de vidéosurveillance de plus. Dans quel but ?https://sarko-verdose.bbactif.com/t297-bientot-60000-cameras-de-videosurveillance-de-plus-dans-quel-but | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Qui veut la peau de la Banque Postale ? Mar 18 Oct - 12:25 | |
| Démantèlement de la banque Dexia, déjà sauvée de la faillite à l'automne 2008Le scénario actuellement privilégié passe par un adossement des principales activités de Dexia en France à la Caisse des dépôts (CDC) et à la Banque postale. Plusieurs responsables politiques français et belges ont évoqué publiquement le projet de création d'une "bad bank", une structure de défaisance distincte où serait cantonné le portefeuille obligataire à risque de la banque, d'un montant de quelque 100 milliards d'euros. "Cette structure consentirait de nouveaux prêts aux collectivités locales", a ajouté Gilles Carrez, le rapporteur général de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, lors d'une conférence de presse. Ce démantèlement se fera avec le soutien des banques centrales des deux pays, a assuré de son côté le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer. "On va prêter de l'argent en tant que de besoin à Dexia, la Banque nationale de Belgique et la Banque de France, pour faire en sorte que les opérations de restructuration se passent très bien", a-t-il dit sur Europe 1. L'ancien premier ministre socialiste Laurent Fabius avait déclaré peu de temps auparavant que la France exposerait sa note souveraine "AAA" si elle se portait au secours de Dexia. Lors de son premier sauvetage, en 2008, la banque franco-belge avait bénéficié de 150 milliards d'euros de garanties des États, dont 55 milliards pour la France. http://fr.news.yahoo.com/paris-cherche-%C3%A0-rassurer-sur-le-dossier-dexia-071121780.htmlDexia : 120 à 200 milliards de dette à se partager entre contribuables de France et de Belgiquewww.youtube.com/watch?v=SsV1Fx194uE&feature=shareLe démantèlement de la banque Dexia n'est qu'un hors-d'œuvre amerhttp://blogs.rue89.com/yeti-voyageur/2011/10/06/le-demantelement-de-la-banque-dexia-nest-quun-hors-doeuvre-amer-225092Collectivités : Dexia s'est payé leur detteUn listing que s'est procuré Libération recense les prêts toxiques vendus par la banque aux villes, départements et régions... www.lesmotsontunsens.com/collectivites-dexia-s-est-paye-leur-dette-11189Emprunts toxiques de Dexia : les hôpitaux contaminéshttp://lci.tf1.fr/economie/conjoncture/emprunts-toxiques-de-dexia-les-hopitaux-contamines-6768906.htmlUn copain de Sarkozy était à la tête de Dexia : Pierre MarianiPierre Mariani a une carrière de fonctionnaire, puis de banquier. De 1993 à 1995, il a été directeur de cabinet du ministre du Budget, à savoir Nicolas Sarkozy. Auparavant, il travaillait à la direction du Budget. http://cordonsbourse.blogs.liberation.fr/cori/2008/10/un-copain-de-sa.htmlOù on retrouve la CDCDexia : splendeur et misère d'une banque mégalomaneExtraits : En 1993, Richard, patron du Crédit local de France, filiale de la Caisse des dépôts (CDC), et directeur adjoint de la Caisse des dépôts et Consignations (CDC), voit le job de numéro un de la prestigieuse institution lui passer sous le nez au prétexte qu'il n'est pas inspecteur des finances. L'ambitieux ingénieur obtient cette année-là la privatisation du Crédit local, puis sa cotation en Bourse. C'est en 2007, avec l'arrivée de la crise des subprimes, que le mirage Dexia prend fin. La France injecte à elle seule 3 milliards d'euros via la Caisse des dépôts. En première ligne, Nicolas Sarkozy obtient le limogeage des deux dirigeants de l'époque, et remplace Pierre Richard par Pierre Mariani, un ancien collaborateur originaire du même village corse que sa première épouse. L'Europe, en obligeant Dexia à s'amputer de certaines filiales essentielles, en Italie et en Espagne notamment, a contribué à atrophier un malade déjà affaibli. En 2011, elle commençait tout juste à voir sa stratégie porter ses fruits, quand elle a été rattrapée par la crise deuxième acte. Un banquier dénonce le rôle mortifère des agences de notation, qui, en émettant régulièrement des doutes sur la capacité de la banque à financer à court terme son énorme portefeuille de crédit long terme, a fait fuir les prêteurs, coupant le robinet des liquidités auquel Dexia avait retrouvé l'accès. Si les gouvernements avaient été courageux, ils auraient dû organiser la scission de la banque dès 2008. www.lepoint.fr/economie/dexia-splendeur-et-misere-d-une-banque-megalomane-07-10-2011-1382082_28.phpCroyez-vous que les dirigeants de Dexia seront inquiétés pour une gestion pour le moins hasardeuse ? Pas plus que les dirigeants du Crédit Lyonnais en son temps, les gestionnaires énarques ne seront pas éclaboussés par cette faillite retentissante. http://synergiedestransports.over-blog.com/article-dexia-100-milliards-d-euros-a-la-charge-des-contribuables-85833853.htmlL'Assemblée nationale approuve le plan de démantèlement de Dexia www.challenges.fr/finance-et-marche/20111018.CHA5774/l-assemblee-nationale-approuve-le-plan-de-demantelement-de-dexia.html« La faillite de DEXIA nous montre que la séparation banques d'affaire - banques de dépôt n'est pas acquise. Voyez La Poste, banque de dépôt par excellence. L'État veut lui adosser la partie investissements aux collectivités de DEXIA. Le contraire des préconisations actuelles, de l'évolution de la City. Le risque transféré aux déposants, aux épargnants et financé par eux par une augmentation prévisible des frais bancaires. Le virus est aussi dans la finance. » www.lemonde.fr/europe/reactions/2011/10/10/la-crise-une-tragedie-pour-la-sante-des-grecs_1584798_3214.htmlAppel européen contre la dictature financière http://blogs.mediapart.fr/blog/les-invites-de-mediapart/180811/appel-europeen-contre-la-dictature-financierePalestine occupée - Dexia impliquée www.europalestine.com/spip.php?article6139 | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Mar 18 Oct - 22:38 | |
| Dessin de Harm«Bad bank» : quand l'État paie les pots cassés Une «bad bank», ou structure de défaisance, sert à nettoyer le bilan d'une banque en difficulté en la débarrassant des actifs pourris dont elle s'est lestée de façon inconsidérée. « Typiquement, cette option est utilisée dans les situations où on ne connaît pas la valeur des actifs à problème», explique Augustin Landier, professeur à l'École d'économie de Toulouse. L'État rachète les titres douteux à prix d'ami, sans prendre en compte leur valeur de marché, souvent très inférieure. À lui, ensuite, de les écouler avec le moins de pertes possibles. » Une -déjà- longue tradition française En France, Bercy et la Caisse des Dépôts ont l'expérience des structures de défaisance. La plus connue n'est autre que le Consortium de réalisation (CDR), créé en 1993 pour solder la crise du Crédit lyonnais. Il n'est pas le seul, comme le rappelle la Cour des comptes dans son rapport de 2008 : «l'État avait apporté son concours financier au Crédit Lyonnais, au Crédit Foncier de France (CFF), au Comptoir des Entrepreneurs (CDE) et au Groupe des assurances nationales (GAN) et avait géré les structures de défaisance mises en place pour accueillir des actifs compromis du fait de gestions financières imprudentes.» […] www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/10/05/04016-20111005ARTFIG00573-bad-bank-quand-l-etat-essuie-les-pots-casses.php | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Ven 25 Nov - 9:20 | |
| Dexia, Veolia, Alstom (détenue à 30% par Bouygues) Ces entreprises françaises qui profitent de la colonisation israélienne La banque de crédit Dexia a beau jeu d’afficher son « idéal » de « développement durable ». Le Groupe a signé en 1998 la Déclaration des institutions financières sur l’environnement et le développement durable du Programme des Nations unies pour l’environnement. Dexia piétine allègrement au moins deux des principes du texte Intal avec une trentaine d’organisations belges, elle vient de lancer une campagne « Dexia, out of Israel », contre le financement des colonies israéliennes par la banque franco-belge. Les gouvernements belge, français et luxembourgeois ont injecté en octobre 2008 plus de six milliards d’euros dans Dexia, menacée de faillite par la crise. L’État français, par sa participation directe et via la Caisse des dépôts et consignations, possède 23,3% de la banque. http://socio13.wordpress.com/2009/02/24/ces-entreprises-francaises-qui-profitent-de-la-colonisation-israelienne-par-ivan-du-roy/Dans le Directoire de Dexia, on trouve Denis Kessler (2000 – 2010) qui se vante de vouloir démanteler le programme du CNR. La faillite de Dexia : la leçon et la nationalisation nécessaireLe 4 octobre 2011, un communiqué a annoncé le démantèlement de la banque franco-belge Dexia pour éviter sa faillite. Dexia est surtout connu en France par son rôle dans le crédit aux collectivités locales. Sa situation est significative des turpitudes et des impasses du capitalisme. Elle souligne la nécessité de mesures radicales pour soustraire le crédit et la monnaie aux intérêts du capital. www.npa2009.org/content/la-faillite-de-dexia-la-le%C3%A7-et-la-nationalisation-n%C3%A9cessaire | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Lun 12 Déc - 1:53 | |
| La folle aventure de la Caisse des dépôts dans le CaucaseNicolas Sarkozy a donné des instructions pour que la Caisse des dépôts et consignations, dont ce n'est pas la mission, soit l'un des deux principaux organisateurs, avec un partenaire russe, d'un projet pharaonique de plus de 11 milliards d'euros visant à la construction de cinq stations de skis dans le Caucase du Nord, une région en proie à une corruption généralisée. Le projet défendu par l'Élysée est d'autant plus ahurissant que le principal protagoniste russe de l'opération est impliqué déjà dans une affaire douteuse contre Total. www.mediapart.fr/journal/economie/071211/la-folle-aventure-de-la-caisse-des-depots-dans-le-caucaseLa Caisse des dépôts et consignations a signé vendredi 16 septembre 2011 un accord pour créer une coentreprise avec la société russe Northern Caucasus resorts pour un projet d'aménagement de cinq stations de ski dans le Caucase russe, région minée par la pauvreté et une rébellion islamiste. L'accord a été signé en présence du Premier ministre russe Vladimir Poutine en marge d'un forum d'investissement à Sotchi, sur les bords de la mer Noire, a indiqué à l'AFP Laurent Vigier, directeur des affaires internationales de la CDC, bras financier de l'État français. Aux termes de l'accord, la CDC détiendra 49% de la coentreprise et Northern Caucasus resorts 51%, les deux parties apportant chacune cinq millions d'euros à son capital. Cette société commune va assurer la coordination de l'ensemble du projet, qui représente au total 10 milliards d'euros Les groupes français Thales et européen EADS, qui souhaiteraient participer à la sécurisation des stations de ski, étaient dans la délégation des entreprises accompagnant Augustin de Romanet, directeur général de la CDC. Les Jeux Olympiques de Sotchi, qui auront lieu en 2014, vont permettre de populariser le Caucase dans le monde, a assuré M. Vigier. www.romandie.com/news/n/_Caucasestations_de_ski__la_CDC_cree_une_coentreprise_avec_une_societe_russe160920111509.aspEn juin 2011 Vladimir Poutine était en France pour s'entretenir avec Nicolas Sarkozy. Au menu des discussions notamment, le développement des échanges économiques franco-russes. Sans doute a-t-il abordé alors le projet de "Courchevel caucasien". www.bfmbusiness.com/toute-linfo-eco/luxe-mode-tourisme/la-russie-sollicite-la-france-pour-son-courchevel-dans-le-caucaseIl y a encore 20 ans, à sa création, la Compagnie des Alpes n'était qu'un agrégat de stations éparses, constitué sous cette bannière par l'État face à la situation financière préoccupante des stations de ski. Son maître d'œuvre et actionnaire majoritaire était la Caisse des dépôts et consignations. C'est en 2004 que la Caisse des dépôts est passée sous la barre des 50%, privatisant de fait la CDA. www.journaldunet.com/economie/services/business-de/compagnie-des-alpes/3-actionnariat.shtml | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Sam 17 Déc - 9:05 | |
| 300 millions d'euros Via la CDC, l’État français tente de sauver Groupama du naufragePremier assureur des collectivités locales, l’entreprise s’est ruinée dans sa stratégie de conquête. Pénalisée par l'effondrement de la Bourse et par le défaut partiel de l'État grec, la S.A. a de plus en plus de difficulté à respecter les ratios de capitaux réglementaires, définis pour protéger les intérêts des assurés. En septembre dernier, l’assureur a vu sa notation dégradée par les fameuses agences de notation, Standard and Poor’s puis Fitch. Ces agences lui reprochaient un niveau de fonds propres insuffisant et une exposition trop importante aux fonds souverains grecs. Standard & Poor's menace de rétrograder sa dette au rang d'"obligations pourries". Une situation inacceptable pour l'Autorité de Contrôle prudentiel (ACP), chargée de surveiller en France les banques et les compagnies d'assurances. Groupama cédera avant la fin de l'année la foncière Silic à la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), qui, quoi qu'il arrive, fera le nécessaire avec l’État pour épauler l’assureur. http://tempsreel.nouvelobs.com/economie/20111214.OBS6704/groupama-les-raisons-d-un-naufrage.html www.creuse-agricole.com/actualites/bretagne-thierry-martel-nouveau-directeur-de-groupama&fldSearch=:H8X97YY8.htmlL’État a déjà offert 300 millions d'euros à Groupama, sous forme d'actions de préférence, mais sans droit de vote. www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/industrie-financiere/20111204trib000668635/groupama-sauve-in-extremis-par-l-etat-francais.html | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Jeu 12 Jan - 16:45 | |
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| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Dim 15 Jan - 15:19 | |
| Caisse des dépôts : le financement qui fait scandalePar Laurent Mauduit Une violente tempête menace la Caisse des dépôts et consignations (CDC) et la filiale qu’elle contrôle avec l’État, le Fonds stratégique d’investissement (FSI) : ils ont apporté 10 millions d’euros d’argent public à la société AD Industrie, dont le propriétaire est Alain Duménil, récemment condamné à un an de prison avec sursis pour banqueroute frauduleuse. L'homme d'affaires, lié à Alain Madelin, semble avoir profité d'influents appuis. Le patron de la CDC, Augustin de Romanet, le conteste. Enquête. www.mediapart.fr/journal/economie/140112/caisse-des-depots-le-financement-qui-fait-scandale | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Mer 11 Avr - 11:44 | |
| Dexia et Veolia ont piqué le bénef de la CaisseChute. Le résultat de la Caisse des dépôts et Consignations (CDC) a été divisé par dix en 2011.L’onde de choc de la crise n’a pas épargné la Caisse des dépôts et consignations (CDC). Contraint de jouer les pompiers volants sur plusieurs dossiers stratégiques pour endiguer la crise, le bras armé financier de l’Etat a vu ses bénéfices fondre et contribuera peu cette année à renflouer les comptes publics. Amputé du milliard d’euros que lui a coûté le sauvetage de la banque franco-belge Dexia, le résultat net de la CDC a été fortement touché : 286 millions d’euros en 2011… soit dix fois moins que l’année précédente. Et sa contribution annuelle «volontaire» aux finances publiques va logiquement suivre le même chemin: l’Etat, qui depuis 2010 s’octroie 50% du profit réalisé par la CDC, devra se contenter d’une centaine de millions, loin des 839 millions de 2010. [...] au-delà du naufrage Dexia, la CDC a fait les frais d’un autre accord mal ficelé : la fusion au printemps 2011 de sa filiale transport Transdev et de la branche transport de Veolia, groupe privé piloté jusque fin 2010 par un très proche de Nicolas Sarkozy, Henri Proglio (actuel patron d’EDF). Touché de plein fouet par les difficultés des collectivités locales et endetté plus que de raison (1,8 milliard d’euros), le groupe Veolia-Transdev a dû déprécier ses actifs à hauteur de 545 millions d’euros, dont 159 millions au titre de la très mal en point SNCM (Société nationale Corse Méditerranée). Transition. Une remise à niveau impérative car, au grand dam de la CDC, co-actionnaire à 50% de Veolia-Transdev, Veolia a annoncé brutalement, mi-décembre, sa volonté de se retirer du capital du nouvel ensemble. Si les négociations engagées avec le fonds Cube Infrastructure de Natexis pour remédier à ce désengagement se «passent très bien», dixit Antoine Gosset-Grainville, leur aboutissement a un préalable : la reprise en direct par Veolia du boulet SNCM jusque-là porté par Veolia-Transdev. Du coup, le futur tour de table n’est pas arrêté. Hier, le DG de la CDC s’est dit favorable à ce que Veolia conserve, «dans un premier temps» au moins, un strapontin au capital. Officiellement, pour assurer la transition vis-à-vis de «grands clients internationaux». Façon aussi de se donner le temps de régler le différend SNCM. Pour autant, la CDC n’est pas au bout de ses peines : Veolia-Transdev ne fera en effet pas, selon un proche du dossier, l’économie d’une «recapitalisation». www.liberation.fr/economie/01012400795-dexia-et-veolia-ont-pique-le-benef-de-la-caisse[/size] Dexia : facture plus lourde que la dette grecqueLa ville d’Asnières porte plainte contre Dexia pour publicité mensongère. À Sevran, Dexia refuse tout découvert à la ville, ce qui risque de mettre en faillite des artisans et des PME du BTP. Croyez-moi, vous allez entendre, pendant la campagne électorale, parler de Dexia, mais aussi au-delà. Mais comme pour le Crédit Lyonnais, devenu LCL, les contribuables paieront pour un nouveau nom et un nouveau logo (dévoilés le 1 mars en Belgique). Il s’agit surtout de dissimuler les responsabilités… Soit, en France, les énormes, colossaux arrangements entre amis de la Sarkozye. www.come4news.com/dexia-facture-plus-lourde-que-la-dette-grecque-155326Emprunts toxiques : l’heure des vrais comptesRapport. La commission d’enquête parlementaire a révélé que 18,8 milliards d’euros plombent les finances des collectivités locales. www.liberation.fr/societe/01012377977-emprunts-toxiques-l-heure-des-vrais-comptesFinances locales : les trois bombes à retardement de SarkozyAu moment où s’achève le quinquennat, le financement des investissements des collectivités territoriales apparaît des plus aléatoires, alors qu’il constitue un enjeu majeur des années à venir pour la croissance de notre pays. Le gouvernement s’apprête en effet à laisser trois « bombes à retardement » à son successeur. La première est la plus visible, c’est le besoin de 22 milliards d’euros de crédits demandés annuellement par les collectivités territoriales et les hôpitaux. Les réticences des banques privées, qui se retirent de ce marché, et l’effondrement de DEXIA ne sont pas compensées actuellement par les mesures annoncées. [...] La deuxième concerne la restructuration de DEXIA. Entre 2002 et fin 2008, l’Etat a laissé dériver cette banque, malgré sa position majeure dans le financement des collectivités et sa dimension « systémique », vers un modèle invraisemblable, hautement risqué et clairement spéculatif dans plusieurs de ses activités. [...] La troisième est le déni, constant depuis près de 4 ans, de la présence de 19 milliards € d’emprunts toxiques dans les comptes de 500 collectivités et hôpitaux. Progressivement, l’explosion des taux d’intérêt va affecter les villes et départements concernés. [...] www.publicsenat.fr/lcp/politique/finances-locales-trois-bombes-retardement-sarkozy-214316www.liberation.fr/economie/01012394077-dexia-un-gouffre-a-2-milliards-d-euros
https://sarko-verdose.bbactif.com/t437p90-le-cv-de-sarkozy-inattendu-candidat-a-la-presidentielle#5752 | |
| | | Orwelle
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| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Jeu 6 Sep - 9:31 | |
| Banque publique d’investissement. La CDC a pris sans appel d'offre Morgan Stanley dirigée par René Proglio, le 15 Juin, comme conseil pour la BPI, au motif qu'elle était intervenue en 2008 pour le FSI. Le Canard Enchaîné, 05/09/2012 www.mediapart.fr/journal/france/050912/sarkozy-hollande-l-anormale-continuite?onglet=commentairesLes enjeux cachés du duel Moscovici-Montebourg[Extraits] deux des plus fortes personnalités du gouvernement ont des conceptions divergentes de la politique économique à suivre. Le projet de Banque publique d’investissement, c’est donc l’un des grands projets portés par François Hollande pendant la campagne présidentielle, qui vise, en s’adossant à des structures déjà existantes, comme le Fonds stratégique d’investissement (FSI), Oséo, CDC entreprises et peut-être la Coface, à doter la France d’une grande banque publique destinée à financer les projets industriels C’est un projet très volontariste qui a pour ambition de pallier les carences des grandes banques privées la BPI était donc présentée comme devant être un levier majeur pour enrayer le déclin industriel en même temps que l’envolée du chômage. Dès la constitution du gouvernement, il était donc entendu que le pilotage de ce projet serait conduit en partage entre le ministre de l’économie, Pierre Moscovici, et celui du redressement productif, Arnaud Montebourg. Cela coulait d’autant plus de source que les deux ministères exercent une tutelle partagée sur l’Agence des participations de l’État (APE), qui supervise toutes les participations publiques Mais par la suite, le même Arnaud Montebourg est mis sur la touche par son collègue, ainsi que par les dirigeants de l’APE qui ne l’informent pas des avancées du dossier. Une procédure exceptionnelle, sans appel d'offres...c'est à la va-vite, un vendredi, juste avant un week-end, que des banques sont démarchées, afin qu'elles se prononcent dès le mardi suivant sur l'un des grands projets du quinquennat, sur lequel elles n'ont au préalable jamais travaillé ni réfléchi. Ubuesque... les quatre établissements, dont la banque Lazard, la banque Rothschild, Crédit suisse et une quatrième banque d’affaires, ont une heure chacune pour convaincre les hauts fonctionnaires devant lesquels ils planchent. la décision sera prise par le cabinet du ministre des finances. Ce qui ne correspond pas exactement à la version officielle que donnera le 31 août Pierre Moscovici. Pourquoi le ministre des finances prend-il ces libertés avec les faits ? Longtemps proche de Dominique Strauss-Kahn, dont le même Matthieu Pigasse a été dans le passé le collaborateur, veut-il écarter le soupçon que le choix de Lazard était largement joué à l’avance ? l’article 6 du contrat de mission passé entre l’APE et la banque Lazard prévoit expressément que l’APE devra s’assurer que l’affaire n’est entachée d’aucun conflit d’intérêts. Alors pourquoi le cabinet du ministre du redressement productif n’est-il pas destinataire des notes de l’agence ? en ne procédant pas à un appel d’offres classique, en veillant à ce que la procédure se déroule avec le moins de traces écrites possible, le ministère des finances et l’APE prêtent le flanc au soupçon. Ont-ils voulu placer Arnaud Montebourg dans l’embarras ? Ou ont-ils pensé que l’intéressé mettrait son veto au choix de Matthieu Pigasse comme banquier d’affaires ? D’un phrase, c’est ce que l’intéressé a suggéré en faisant valoir qu’on ne peut pas créer une banque nouvelle en s’appuyant sur les recommandations d’une banque ancienne, engluée dans les mœurs financières qui ont conduit à la crise que l’on connaît. L’hypothèse prend d’autant plus de crédit que, selon des indications concordantes recueillies au sein de ces directions financières de Bercy, les deux ministres n’ont pas du tout la même vision de la banque publique qu’il faut constituer. Un premier schéma, défendu par le cabinet de Pierre Moscovici, consisterait à aller vite en rationalisant un peu les établissements financiers devant entrer dans le périmètre de la BPI (FSI, CDC Entreprises, Oséo, etc.) et en installant au-dessus une instance de coordination. La BPI serait donc moins une banque nouvelle qu’une sorte de holding de tête, mais pas véritablement intégrée. à 30 milliards d’euros d’actifs. le ministère du redressement productif plaide pour une véritable banque de l’industrie, c’est-à-dire pour une banque intégrée, et pas pour une juxtaposition de structures qui existent déjà. Ensuite, il aimerait que la nouvelle banque soit réellement une banque de service public, n’ayant que l’intérêt général comme ligne conductrice, et pas le souci permanent des commissions et retour sur investissement dont sont si friandes les grandes banques privées et qui siphonnent les trésoreries des PME au lieu de les reconstituer. D’où d’ailleurs l’agacement du ministère de voir Matthieu Pigasse faire irruption dans ce dossier. S’il s’agit d’imposer une logique de service public et non pas une logique de marché – sinon d’influence ou de connivence –, ce n’est évidemment pas le conseil adéquat. Et puis surtout, Arnaud Montebourg souhaite que la force de frappe de la nouvelle banque soit non pas de 30 milliards d’euros mais de… 200 milliards ! L’argument est le suivant : mettre une somme sous-calibrée dans un contexte de crise économique, et alors que les banques privées se désengagent du financement de l’économie, serait vain. Il est donc urgent d'afficher une plus grande ambition. D’autant qu’il existe de nombreux gisements inexploités, si une politique fiscale adéquate est mise en place : l’assurance-vie, pour ne parler que d’elle, a ainsi des encours qui dépassent 1 600 milliards d’euros, dont seulement 4 % viennent financer l’économie française et à peine 1 % les PME. Pour l’heure, l’Élysée temporise et fait mine de croire que l’affaire n’est pas importante. François Hollande devra pourtant arbitrer d’un jour à l’autre. Mieux vaut un débat libre et serein, devant les citoyens – le gouvernement Jospin en a connu de nombreux – qu’une fausse caporalisation, avec en arrière-fond de petites intrigues et des coups tordus… www.mediapart.fr/journal/economie/030912/les-enjeux-caches-du-duel-moscovici-montebourg | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Jeu 13 Sep - 22:29 | |
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| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Mer 6 Fév - 22:47 | |
| Association de malfaiteurs La Caisse des dépôts et EDF s'affrontent autour d'une filiale de Total Argumentaires affutés, lobbyistes en campagne, rumeurs de pressions en tous genres la bataille pour la prise de TIGF (Transport Infrastructures Gaz de France), filiale de transport et de stockage de gaz de Total, située dans le sud-ouest de la France, entre dans sa dernière ligne droite. C'est lundi 4 février 2013 qu'expire le délai pour le dépôt des offres de reprise. Ensuite, l'affaire pourrait se conclure très vite. 'A priori, avant le 13 février, date de présentation des résultats annuels de Total', pronostique un connaisseur du processus, en rappelant que depuis l'annonce officielle par Total du projet de cession de sa filiale, à l'automne, les 460 salariés de TIGF vivent une situation inconfortable. Si depuis octobre, sept consortiums associant des opérateurs industriels et des investisseurs financiers ont manifesté l'intention de déposer une offre, la plupart ont jeté l'éponge. Avec ces défections, la cession vire au duel entre les deux dernières équipes en lice. Caisse des dépôts et consignations (CDC), via sa filiale CDC Infrastructure, associé à l'opérateur gazier belge Fluxys d'une part ; le transporteur gazier italien SNAM, le fonds souverain singapourien GIC et EDF d'autre part. 'ADN PUBLIC' COMMUN Le tandem CDC-Fluxys est soutenu par toute l'assurance-vie française (le géant de l'assurance Axa via son fonds d'infrastructures, Crédit agricole assurances et la CNP) et par deux partenaires étrangers (le fonds de pension néerlandais PGGM et le fonds souverain d'Abou Dhabi (Adia). Si les parts au sein du consortium sont tenues secrètes, le camp français est, selon nos sources, majoritaire. La part de l'opérateur Fluxys s'établit quant à elle autour de 20%-25%. Engagée très tôt dans la bataille, la Caisse des dépôts - qui possède déjà 25 % de l'autre réseau français de gaz GRT Gaz - y a vu l'occasion de promouvoir son positionnement d'investisseur de long terme, une caractéristique plutôt rare et recherchée (...) www.lemonde.fr/economie/article/2013/02/02/la-caisse-des-depots-et-edf-s-affrontent-autour-d-une-filiale-de-total_1826196_3234.html Le transport du gaz en FrancePourquoi donc y a-t-il cession ? Y aurait-il magouille sous roche ? La cession de TIGF, qui pourrait rapporter de deux à trois milliards d'euros à Total, suscite l’inquiétude. La perspective de la cession a suscité depuis le mois d'août 2012 de fortes inquiétudes chez les syndicats et les élus locaux. Les syndicats, opposés à toute cession, ont déjà observé quatre mouvements de grève depuis le début du mois d'août. TIGF emploie directement près de 500 salariés et exploite 14% du réseau français de gazoducs. La filiale de Total assure aussi 13% du transit des volumes de gaz nationaux et dispose de 22% des capacités françaises de stockage de gaz. http://aquitaine.france3.fr/2012/10/16/pau-total-confirme-qu-il-va-ceder-sa-filiale-gaziere-tigf-121527.htmlEffectivement ! La vente résulte d’une « stratégie » imposée par l’Union européenne, et facilitée par le 'ministre des autoroutes' Borloo*. La Caisse de dépôt et consignations est évoquée comme futur acteur de la transaction... pouvant servir d’ « intermédiaire » bien utile…Le réseau de transport de gaz de Total bientôt aux mains de Goldman Sachs ?La perspective d’une cession de leur entreprise à un fonds d’investissement inquiète fortement les salariés. On peut d’autant mieux les comprendre que le nom de la trop célèbre banque Goldman Sachs est évoquée, établissement financier qui a tout de même tendance ces derniers à « tremper » dans de bien étranges affaires. Or, le monde étant parfois petit, on peut noter avec stupeur – voire avec effroi – que par un arrêté de Jean-Louis Borloo, alors ministre d’État, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, en date du 19 janvier 2010, la société Goldman Sachs International (GSI), dont le siège social est situé Peterborough Court, 133 Fleet Street, EC4A 2BB, Londres (Royaume-Uni) … a été autorisée à exercer l’activité de fourniture de gaz sur le territoire français pour approvisionner la catégorie de clients suivante : les fournisseurs de gaz naturel. 21/09/2012http://globalpresse.wordpress.com/2012/09/21/tigf-le-reseau-de-transport-de-gaz-de-total-bientot-aux-mains-de-goldman-sachs/* https://sarko-verdose.bbactif.com/t371-jean-louis-borloo-ministre-des-autoroutesPrivatisée par BalladurCréée en 1924, Total est une entreprise pétrolière française faisant partie des "supermajors", qui a été cédée au privé en 1993 par Édouard Balladur. En 2010 ses bénéfices se sont élevés à 10 milliards d’euros. Bénéficiant du régime fiscal du bénéfice mondial consolidé (BMC), elle n'a payé aucun impôt sur les sociétés en France en 2009 et 2010. http://fr.wikipedia.org/wiki/Total_%28entreprise%29 TIGF développe les liaisons franco-espagnolesLe 17 octobre 2011 www.laviedesreseaux.fr/Consultez-nos-themes-reseaux/Gaz/TIGF-developpe-les-liaisons-franco-espagnoles www.tigf.fr/nos-offres/transport.htmlLe réseau TIGFhttp://tetra.tigf.fr/SBT/img/carte_france_fr.jpg | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Jeu 28 Fév - 13:27 | |
| Un petit pois à la place du cerveau (et la mort de la langue française) : l'avenir !Promotion du capitalisme à l'écoleAisne. Le rectorat, la Caisse des dépôts et l'association « Entreprendre Pour Apprendre » se mobilisent.Une convention les associant a été signée pour développer l'esprit d'entreprendre chez les jeunes, par le biais de la création et l'animation de mini-entreprises et de Yep ( young entreprise projet) en établissement scolaire. Le « YEP » est pour sa part un programme spécifique pour les étudiants de l'enseignement supérieur. Il offre une expérience plus approfondie, avec la réalisation d'un business plan préparatoire à la création de l'entreprise. Le concept n'est pas nouveau et a déjà porté ses fruits. Ainsi, dans l'académie, pour l'année 2012-2013, 92 mini-entreprises ont été créées, 46 en collège et 34 en lycée, mobilisant quelque 1 221 élèves. Ces créations, composées chaque fois de 10 à 20 jeunes, se font soit dès la classe de 4e, soit en structure d'insertion ou centre de formation. Une expérience concrète L'idée d'une entreprise trouvée, les jeunes créent leur structure, ouvrent un compte bancaire et se répartissent les différentes responsabilités. Ils produisent ensuite leur marchandise ou service, le commercialisent, communiquent et gèrent ainsi réellement avec une obligation de résultat. Ces expériences leur apportent une connaissance concrète du monde économique et sont indéniablement un atout de tout premier ordre pour ces jeunes. Ils font ainsi en effet l'acquisition de capacités de travail en équipe, mais de prises de décision motivées par leurs responsabilités respectives. L'expérience prouve en outre que les jeunes, ayant participé à cette expérience, sont plus créatifs, plus confiants et davantage prêts à entreprendre avec de surcroît un taux de réussite supérieur à la moyenne. Apprentissage du professionnalisme À l'occasion de la signature de cette convention, Bernard Beignier, recteur, a rappelé que la valeur ajoutée de ce programme résidait dans la coopération des enseignants et des entrepreneurs avec les jeunes. En effet, pour les accompagner et les conseiller, les élèves entrepreneurs sont encadrés par leurs professeurs et des intervenants extérieurs. « Cette relation école-entreprise est nouvelle, originale, elle apprend aux jeunes à gérer un projet avec tout le professionnalisme nécessaire. » Dans l'Aisne, vingt-cinq mini-entreprises ont été créées cette année sur l'ensemble du département : à Beaurevoir, Belleu, Bohain, Coucy-le-Château, Crécy-sur-Serre, Guise, Laon, Le Nouvion-en-Thiérache, Soissons, Saint-Quentin, Château-Thierry, Fontaine-lès-Vervins, et Moy-de-l'Aisne. Quinze en collège, 6 en lycée, 3 en initiative emploi et 1 en CFA. Des mini-entreprises dans des secteurs très diversifiés (création de bijoux, vêtements, décoration, chauffage, art de la table) qui rassemblent plus de 400 élèves. www.aisnenouvelle.fr/article/region/education-promouvoir-lesprit-dentreprendre | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Ven 8 Mar - 15:40 | |
| Corruption en Essonne : un maire UMP et le groupe Icade soupçonnésSelon un document obtenu par Mediapart, le groupe immobilier Icade, filiale de la Caisse des dépôts, s’est engagé à payer deux millions d’euros à des intermédiaires liés à la municipalité UMP de Vigneux pour obtenir les terrains d’un stade communal. Embarrassé, Icade conteste avoir donné suite. Selon un témoin, les intermédiaires ont accompagné à plusieurs reprises le maire Serge Poinsot et son directeur de cabinet au Luxembourg, où une somme de 250.000 euros leur aurait été remise. www.mediapart.fr/journal/france/060313/corruption-en-essonne-un-maire-ump-et-le-groupe-icade-soupconnes | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Mar 30 Avr - 15:12 | |
| L'État français saisit (discrètement) le Fonds de Réserve des RetraitesSelon cet article de Financial News*, le Fonds de Réserve des Retraites a été intégralement versé au crédit de la CADES et continuera de gérer cet argent, de loin, en tant que tierce partie, pour la CADES. Ce qui fait tout de même 36 milliards d'euros qui disparaissent du FRR pour venir boucher une partie d'un trou. En gros, on utilise des fonds destinés à la gestion de long terme pour remplir des gros trous et des gentils déficits de court terme. Ça ressemble à s'y méprendre à la récente ponction par le gouvernement irlandais des 24 milliards d'euros du National Pension Reserve Fund pour alimenter le programme budgétaire courant. Tout ceci, dans la plus parfaite opacité (s'pa, m'sieur Baroin) que la presse s'est d'ailleurs entretenue à conserver. L'étape suivante, pendant que l'écart des taux entre le Bund allemand et les Bons français ne cesse de grossir, c'est probablement les petits sommes rondelettes mises de côté par le citoyen lambda sur ses comptes épargnes, livret A et compagnie. Évidemment, ce ne sera pas présenté comme ça. En tout cas, soyez rassurés : tout va bien. http://h16free.com/2010/11/29/5850-letat-francais-saisit-discretement-le-fonds-de-reserve-des-retraites * http://www.efinancialnews.com/story/2010-11-29/france-seizes-euro-36bn-of-pension-assetsCaisse d'Amortissement de la Dette Sociale (CADES)La CADES est un organisme gouvernemental français créée par l'ordonnance n° 96-50 du 24 janvier 1996, et dépendant de cinq ministères de tutelles (Économie, Comptes publics, et les trois ministères chargés des trois branches de la Sécurité sociale, Santé, Travail, Vieillesse). Elle s'est vu transférer le montant de la dette sociale avec pour mission de la rembourser d'ici à 2025. Sa principale ressource est la perception de la Contribution pour le remboursement de la dette sociale (CRDS), ainsi que d'une partie de la Contribution sociale généralisée (CSG). Le terme « dette sociale » fait référence au déficit accumulé par le régime général de la protection sociale à la date de promulgation de l'ordonnance créant la CRDS. Elle fait partie de la dette publique française au sens du traité de Maastricht, aux côtés de la dette négociable de l'État gérée par le Trésor et de la dette des collectivités locales. Au total, la CADES a depuis l'origine repris 189,6 milliards d'euros de dette de la Sécurité sociale, et en a amorti 53 milliards au 30 juin 2011 http://fr.wikipedia.org/wiki/Caisse_d%27amortissement_de_la_dette_sociale | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Ven 10 Mai - 19:45 | |
| Mémorial de l'abolition de l'esclavage à Nantes90 millions de Francs-Or = + de 21 milliards d'euros, ou plus exactement 21.685.135.171,48 euros Abolition de l'esclavage : le Cran assigne la Caisse des Dépôts et ConsignationsEn ce jour de commémoration de l'abolition de l'esclavage, l'organisation reproche à la Caisse des dépôts d'avoir bénéficié de l'esclavage. Le Conseil représentatif des associations noires (Cran) a annoncé vendredi, à l'occasion de la journée de commémoration de l'abolition de l'esclavage, qu'il assignait en justice la Caisse des dépôts (CDC), lui reprochant d'avoir profité de la traite négrière. "Un crime contre l'humanité" "La CDC est complice d'un crime contre l'humanité", a déclaré Louis-Georges Tin, président du Cran, qui assigne la CDC et deux de ses filiales devant le tribunal de grande instance (TGI) de Paris, parce que la banque a encaissé les sommes versées par Haïti en contrepartie de son indépendance*. La banque s'était chargée de recueillir les indemnités versées par les anciens esclaves haïtiens, pour le compte de l’État français. Quelque 90 millions de francs-or sont ainsi payés, prix de leur indépendance. "Les réparations sont le véritable enjeu de ce 10 mai 2013. Sollicité par le Cran et par une délégation associative le 8 octobre 2012, Jean-Marc Ayrault s'était engagé à mettre en place une politique de réparation, dont le contenu devait être précisé à l'occasion d'une réunion interministérielle, qui devait se tenir avant le 8 novembre 2012, indique l'organisation dans un communiqué. Malheureusement, depuis lors, Matignon a refusé tout dialogue sur ce sujet. En outre, le premier ministre a refusé de soutenir une enquête qui aurait permis de retracer les flux financiers issus de la traite négrière." [...] http://tempsreel.nouvelobs.com/justice/20130510.OBS8593/abolition-de-l-esclavage-le-cran-assignerait-la-caisse-des-depots.html* HAÏTI : Mais pourquoi sont-ils si pauvres ? https://sarko-verdose.bbactif.com/t314-special-haiti-mais-pourquoi-sont-ils-si-pauvres Le jésuite se fait complice de la Caisse des Dépôts et Consignations... Aussi cynique et sans vergogne que Sarkozy ! François Hollande parle d'"impossible réparation" de l'esclavageÉvoquant "l'impossible réparation" de la traite négrière, François Hollande a cité le poète antillais Aimé Césaire, dont on célèbre cette année le centième anniversaire de la naissance. [!] François Hollande a souligné vendredi "l'impossible réparation" des ravages de l'esclavage, "outrage fait par la France à la France", à l'occasion de la journée nationale des mémoires de la traite, de l'esclavage et de leurs abolitions. Cette question a été ravivée par le Conseil représentatif des associations noires (Cran), une association qui poursuit la Caisse des dépôts en justice pour avoir, selon elle, tiré profit de l'esclavage en recueillant notamment la "rançon" imposée à Haïti pour son indépendance. "'Il y aurait une note à payer et ensuite ce serait fini ? Non, ce ne sera jamais réglé'", a dit le président français, en écho à cette figure de la vie martiniquaise, célébrée au Panthéon, non loin des jardins du Luxembourg où se tenait la cérémonie. "L'histoire ne s'efface pas. On ne la gomme pas", a-t-il ajouté. "Elle ne peut faire l'objet de transactions au terme d'une comptabilité qui serait en tous points impossible à établir. Le seul choix possible, le plus digne, le plus grand, le plus responsable, c'est celui de la mémoire, c'est la vigilance, c'est la transmission." Le président du Cran a critiqué ces déclarations. "Tout crime appelle réparation, et quand on refuse la réparation, c'est qu'on refuse qu'il y ait eu véritablement crime. Il faut une réparation globale : morale, culturelle, financière, symbolique, matérielle", a dit Louis-Georges Tin à des journalistes. "Ce chemin de justice doit être ouvert", a-t-il ajouté, reprochant au Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, dont des conseillers avaient reçu des membres de son association en octobre, de ne "pas avoir tenu parole". [...] http://tempsreel.nouvelobs.com/topnews/20130510.REU3784/francois-hollande-parle-d-impossible-reparation-de-l-esclavage.htmlAyrault menteur et lâche, comme son petit maître... "Hollande nous explique que l'intervention française au Mali serait une façon de rembourser la dette de la France envers l'Afrique." Répugnant ! http://fr.news.yahoo.com/françois-hollande-parle-d-impossible-réparation-lesclavage-124457080.htmlUMP et PS, main dans la main, comme au parlement européen : Jean-François Copé, président de l'UMP, a affirmé vendredi 10 mai sur RTL qu'il était "compliqué de parler d'indemnisation matérielle" de l'esclavage alors que "tant de siècles ont passé". 10 mai 2013. Des membres de la Brigade-antinegrophobie Collectif-antinegrophobie sont retenus au commissariat du 5eme arrondissement de Paris pour avoir porté un T-shirt Antinégrophobie au jardin du Luxembourg en cette journée de commémoration de l'abolition de l'esclavage. COMMISSARIAT DU 5e arrt 4 rue de la Montagne Sainte-Geneviève, M°ligne 10, station MAUBERT-MUTUALITE, tel. 01 44 41 51 00. | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Sam 16 Nov - 21:42 | |
| © Radio France - Cécilia ArbonaLa Cité du cinéma de Luc Besson dans le collimateur de la justiceUne note confidentielle de la Cour des comptes critique le curieux financement public de ce projet privé. La justice a été saisie. "Le financement public de la Cité du cinéma, décidé par quelques hauts responsables publics (...) a été effectué pour permettre l'aboutissement du projet qu'une société privée portait pour son bénéfice, le caractère général du projet restant à démontrer", selon la note publiée par Le Parisien. "Les conditions de financement de montage et de financement de l'opération (...) sont susceptibles de caractériser le délit de détournement de fonds publics et de recel de ce délit", peut-on lire. Ce petit Hollywood avec vue sur Seine a nécessité quelque 170 millions d'euros d'investissements et l'implication des pouvoirs publics par le biais de la Caisse des dépôts. http://www.leparisien.fr/loisirs-et-spectacles/la-cite-du-cinema-dans-le-collimateur-de-la-justice-16-11-2013-3321381.php http://www.franceinfo.fr/cinema/le-plus-france-info/moteur-pour-la-cite-du-cinema-de-luc-besson-731403-2012-09-10EuropaCorp investi par la Sarkozy bande https://sarko-verdose.bbactif.com/t417-europacorp-investi-par-la-sarkozy-bande-le-reve-de-luc-besson-vire-au-cauchemarLa Caisse des dépôts se réorganise pour être plus "moderne" Sans définir d'horizon précis pour son plan, la CDC, bras financier de l’État, souhaite donner la priorité aux domaines de la transition énergétique et écologique, du logement, du numérique, notamment l'équipement du territoire, et des infrastructures et du tourisme, "priorité pour notre groupe et pour le développement économique de notre pays", selon M. Jouyet. http://www.lamontagne.fr/france-monde/actualites/economie-politique/eco-finances/2013/11/15/la-caisse-des-depots-se-reorganise-pour-etre-plus-moderne_1765729.htmlPlus honnête et plus utile aux contribuables, ce serait encore mieux ! | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Mar 6 Mai - 17:18 | |
| Logement social : la Caisse des dépôts poursuit MediapartPar Laurent MauduitFiliale de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), la Société nationale immobilière (SNI), ainsi que son président, André Yché, ont décidé d’engager des poursuites en diffamation contre Mediapart. Selon nos informations, Jean-Pierre Jouyet a donné son aval au déclenchement de cette procédure qui, par son ampleur, constitue une mise en cause du droit à l’information. La plainte ne vise pas en effet un article en particulier mais presque toutes les enquêtes que j’ai réalisées au cours de ces derniers mois et qui ont été mises en ligne sur Mediapart. Les articles qui sont jugés diffamatoires sont en effet pêle-mêle les suivants : --Le logement social dans le piège des mondanités et de l’affairisme --Vers une privatisation du n°1 du logement social --Caisse des dépôts et SNI : le scandale Yché --Jean-Pierre Jouyet pousse la Caisse des dépôts dans la crise --Logement social : encore une embauche controversée à la CDC --Logement social : sous le scandale de la SNI, celui de la Sagi Or, dans ces enquêtes, Mediapart avait apporté de nombreuses révélations. À titre d’illustration, j’avais ainsi révélé dans l’un de ces articles la cooptation par la SNI de Thomas Le Drian, le fils du ministre socialiste de la défense. Et cette information avait eu un très large écho : elle avait été non seulement reprise très largement par toute la presse écrite et audiovisuelle, mais aussi elle avait attisé une vive polémique entre le gouvernement et la droite. À titre d’illustration toujours, dans l’une de ces enquêtes, j’avais aussi révélé le contenu d’un rapport secret de la Cour des comptes sur la SNI, rapport dans lequel figuraient de très vives critiques sur l’opération conduite par cette société à l’occasion de la cession des 32.000 logements de la société Icade, autre filiale de la Caisse des dépôts. Or, ce rapport de la Cour des comptes était très attendu par de nombreuses municipalités – dont des municipalités socialistes- qui avaient émis, elles aussi, de très vives critiques contre cette opération, qui a donné lieu au versement de commissions exorbitantes. Pour ces raisons, nous avons donc la conviction d’avoir fait honnêtement et rigoureusement notre travail, en publiant des informations d’intérêt public. C’est ce que nous démontrerons lors de l’audience, avec notre conseil Me Pascal Beauvais : nous établirons la véracité des faits que nous avons révélés en même temps que la bonne foi et le sérieux de nos enquêtes. Et c’est aussi la raison pour laquelle nous voyons dans cette procédure, qui vise un nombre exceptionnellement élevé d’articles, une forme d’intimidation. Cette plainte, qui vise Edwy Plenel en sa qualité de directeur de la publication, et moi-même en ma qualité d’auteur des enquêtes, présente aussi une autre caractéristique. Déposée non seulement par André Yché, président de la SNI, mais aussi par la SNI comme personne morale, elle peut aussi être lue comme une plainte... de la direction de la Caisse des dépôts. Car il coule de source qu'André Yché ne prendrait pas la responsabilité, seul, d'engager la société SNI dans une telle confrontation, sans l'aval de ses mandants. Non seulement, cela coule de source... mais c'est aussi ce dont j'ai obtenu confirmation: avant de partir à l’Élysée, comme secrétaire général, Jean-Pierre Jouyet, qui a aussi été secrétaire d’État sous Nicolas Sarkozy, a donné son aval à cette action en justice contre le droit à l'information. C’est en quelque sorte le legs de Jean-Pierre Jouyet à Pierre-René Lemas, son probable successeur, par SNI interposée : une attaque en crabe mettant en cause la liberté d’investigation de la presse et le droit à l’information. 6 mai 2014 http://bit.ly/1nkYeof https://fr.wikipedia.org/wiki/Soci%C3%A9t%C3%A9_nationale_immobili%C3%A8re | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Sam 6 Sep - 15:26 | |
| La Caisse des dépôts tente de mettre au pas la CGT Une élue CGT est la cible de la direction juridique et sociale de la Caisse des dépôts qui tente de la licencier. Une procédure qui relève de l’acharnement syndical, selon l’ensemble des structures CGT de la Caisse des dépôts. Récit. La direction juridique et sociale du groupe Egis (groupe de conseil et d’ingénierie dans les domaines des transports, de la ville, du bâtiment, de l’industrie, de l’eau, de l’environnement et de l’énergie), dont le métier est de connaître et d’appliquer les règles sociales et le code du travail, a essuyé le refus cinglant de l’inspection du travail de licencier pour insuffisance professionnelle une représentante du personnel CGT parce que, selon la décision de l’inspection du travail, la direction juridique et sociale n’a pas respecté les règles du code du travail. Or, cette dernière a décidé de s’acharner contre l’élue CGT, puisque la direction juridique vient d’entamer une nouvelle procédure de licenciement à son encontre. « Sous couvert d’une prétendue incompétence professionnelle de la part de la représentante du personnel, la direction juridique vise en réalité à attaquer nos représentants CGT pour tenter de mettre au pas notre syndicat, » soulève dans un communiqué l’union des syndicats CGT du groupe Caisse des dépôts. Les représentants CGT de l’ensemble des structures de la Caisse des dépôts demandent non seulement « l’arrêt immédiat de la nouvelle procédure de licenciement contre la représentante du personnel, tout autant injustifiée que la première », mais également « la démission de la direction juridique et sociale pour son insuffisance professionnelle qui semble maintenant avérée. » Voir le dossier Syndicalistes... pas voyous ! http://www.cgt.fr/La-Caisse-des-Depots-tente-de.html | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Sam 6 Sep - 15:33 | |
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| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Dim 30 Nov - 16:56 | |
| Alain Bauer a profité de contrats de complaisance à la Caisse des dépôtsAlain Bauer a profité de contrats de complaisance à la Caisse des dépôts, sous la direction générale d'Augustin de Romanet puis de Jean-Pierre Jouyet. Un contrat annuel de 200 000 euros portait sur les questions de sécurité. Plusieurs milliers d'exemplaires du guide gastronomique Champérard, contrôlé à 50 % par le criminologue, ont aussi été achetés par la Caisse. C’est une nouvelle en apparence microcosmique mais qui en dit long sur les intrigues, les jeux d’influence et les passe-droits qui se nouent parfois dans les coulisses du pouvoir : ami intime de l'actuel Premier ministre et ancien grand maître du Grand Orient de France, Alain Bauer, qui use de sa qualité de professeur en criminologie pour décrocher des missions de conseil en sécurité auprès des grandes entreprises, a bénéficié de contrats et d’avantages secrets auprès de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), du temps où celle-ci avait pour directeur général Augustin de Romanet, puis à nouveau sous Jean-Pierre Jouyet. http://www.mediapart.fr/journal/france/281114/alain-bauer-profite-de-contrats-de-complaisance-la-caisse-des-depotsAlain Bauer s’est également lié d'amitié avec le tandem Valls-Fouks durant leurs années communes à Tolbiac. Parrain du second fils de Valls et ex-employeur de sa première épouse, Bauer est généralement présenté comme un expert sécuritaire sans que les ramifications de ce statut social ne soient jamais réellement explorées. Ancien grand maître du Grand Orient, l’homme n’a jamais caché son appartenance à la franc-maçonnerie ou son étroite proximité -corollaire- avec le monde de la police. Pour sa part, Valls a été franc-maçon de 1989 à 2002 au sein d’une loge du Grand Orient dénommée « Ni Dieu ni maître ». http://www.panamza.com/11092013-valls-engagement-absolu-israel | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Dim 15 Fév - 4:41 | |
| Nouveau scandale à la CdC ! Les bonus cachés d'une filiale de la Caisse des dépôtsUn plan d’intéressement mis en place par la Caisse des dépôts et consignations, via l’attribution gratuite d’actions aux salariés d’une ancienne filiale de la Caisse, CDC Entreprises, a rapporté 8,3 millions d’euros au titre des exercices 2009 à 2013 à 60 salariés. Fait sans précédent dans une société publique, 7 millions d'euros d'actions gratuites ont été discrètement distribués au sein de CDC Entreprises, filiale de la Caisse des dépôts, entre 2007 et 2012. Ce système de rémunération, auquel s'intéresse la Cour des comptes dans son prochain rapport, a été mis au point par l'ancien patron de la société, Jérôme Gallot, lui-même... magistrat financier ! Les dix principaux bénéficiaires du dispositif ont perçu chacun entre 328.050 et 567.000 euros de dividendes, entre 2009 et 2012, en plus de leur rémunération fixe. Ce mécanisme a pris fin avec la création de Bpifrance mais la Caisse a alors racheté les actions gratuites encore détenues par les salariés pour un montant total de 7,2 millions d’euros. La Cour de discipline budgétaire et financière a été saisie par le procureur général de la Cour des comptes. http://www.leprogres.fr/economie/2015/02/12/les-derives-de-la-caisse-des-depots http://www.humanite.fr/cour-des-comptes-la-rigueur-passe-en-mode-local-565470 http://www.boursorama.com/forum-cac-40-scandale-financier-a-la-cdc-entreprises-435499612-1
http://www.mediapart.fr/journal/france/020215/les-bonus-caches-dune-filiale-de-la-caisse-des-depots http://bourse.lesechos.fr/infos-conseils-boursiers/actus-des-marches/infos-marches/france-une-cour-saisie-sur-les-actions-gratuites-cdc-entreprises-1030839.php | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Dim 15 Fév - 4:57 | |
| Quand l’argent de vos cotisations retraite accélère le réchauffement climatiqueLe Fonds de réserve des retraites hébergé par la Caisse des dépôts et consignations (CDC) investit dans des secteurs très polluants et des entreprises controversées : Total, Shell, Gazprom, Monsanto, ou même à l'industrie du tabac ! Le Fonds de réserve des retraites sera la cible d’une campagne de mobilisation animée par le mouvement écologiste 350.org. Objectif : que les institutions financières retirent leurs investissements des secteurs qui contribuent fortement au changement climatique. 13 février 2015 http://www.bastamag.net/Quand-l-argent-de-vos-cotisations | |
| | | Orwelle
Messages : 7341 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: Il était une fois la CDC (Confrérie de Délinquants en Col blanc) Dim 8 Nov - 21:17 | |
| Calèches du Mont Saint-Michel. La CDC condamnée avec TransdevLe tribunal de commerce de Paris vient de condamner Transdev (un groupe qui appartient à Veolia et à la Caisse des Dépôts et Consignations) à payer un million d'euros à Norbert Coulon, éleveur de chevaux de trait de la Manche. Transdev, qui transporte les visiteurs au Mont-Saint-Michel, avait mis en place des navettes hippomobiles. Tirées par les chevaux de trait de Norbert Coulon, elles étaient conduites par des cochers recrutés et formés par Transdev. Des cochers « pas assez et mal formés », affirme Norbert Coulon qui alerte Transdev. En décembre 2013, il rapatrie les chevaux chez lui à Saint-Malo-de-la-Lande. Les navettes hippomobiles restent « à quai ». Estimant que Norbert Coulon n'avait pas respecté les termes du contrat qui les liait pour 10 ans, Transdev avait porté l'affaire devant le tribunal de commerce de Paris. Ce tribunal donne raison à l'éleveur de chevaux. Transdev n'a pas « correctement formé les cochers de manière à assurer la sécurité des personnes et la sauvegarde des chevaux. [..] ». 1er juillet 2014 http://www.ouest-france.fr/caleches-du-mont-saint-michel-la-justice-donne-raison-leleveur-2665244 | |
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